Défi 30 jours d’écriture Kea Ring n°30 (2e édition) Histoire autour d’Halloween

(provenant du blog de Madame Kea Ring)

30) Ecrire une histoire autour d’Halloween

Lina se leva ce matin-là avec un but : aller au cimetière. Ce n’était pas un but joyeux, a priori, mais elle allait pouvoir aller rendre visite à ses parents, morts dans un accident de voiture, et elle chérissait ces visites. Aujourd’hui, elle y allait à l’occasion d’Halloween. Elle y allait aussi pendant le reste de l’année, mais ce jour-là était spécial. Elle apportait les plus belles fleurs qu’elle pouvait trouver, et elle leur parlait longuement. Elle faisait attention à se rendre au cimetière au moment où il y avait peu de monde, car elle voulait pouvoir leur parler tranquillement.

Elle s’y rendit donc. cette fois-ci, elle avait pris des fleurs violettes, sa couleur préférée. Elle trouva sans encombre la tombe de ses parents, retirant une plante qui avait péri et la remplaçant par le gros pot de fleur violettes acheté pour l’occasion. Elle prit son pliant, redressa le col de son manteau car il faisait froid, et elle s’assit pour leur parler de sa vie, de son travail, des saisons, de tout et de rien. Elle aimait beaucoup venir leur parler, cela lui permettait de réfléchir et de prendre certaines décisions.

Mais ce jour-là ne fut pas comme les autres. Elle était pourtant sûre qu’elle avait été seule en entrant. A cette heure matinale, personne ne venait, en principe. Elle venait d’entendre un bruit de pas sur le gravier. Elle se retourna vivement. Personne. Ce n’était sans doute qu’une autre personne qui venait mettre des fleurs. Elle tâcha d’oublier le bruit, se reconcentrant sur la tombe de ses parents.

Elle fut à nouveau dérangée. Cette fois, le bruit venait de plus près. Mais il n’y avait toujours personne. Elle scruta l’allée sans rien voir. Ce bruit la rendait nerveuse. Mais d’où venait-il ? Regardant sa montre, elle se rendit compte qu’elle était là depuis au moins deux heures. Peut-être était-ce vraiment une personne venant porter des fleurs. Qu’est-ce que cela aurait pu être d’autre, de toute manière ? Elle allait se lever, quand elle sentit quelque chose toucher son épaule. Elle hurla, se levant en une seconde et se retournant. Rien. Toujours rien. Haletante, le coeur battant à une vitesse folle, elle regarda autour d’elle. Un silence écrasant régnait sur le cimetière. Elle entendit un autre bruit, et elle replia vite son pliant, fuyant l’allée aussi vite qu’elle pouvait. Elle regagna sa voiture. Avant de monter dedans, elle regarda une dernière fois vers le cimetière. Là, au milieu d’une allée, se tenait une forme sombre. Elle ne chercha pas à savoir de quoi ou qui il s’agissait, elle monta dans sa voiture, démarrant le plus vite qu’elle pouvait et fuyant les lieux. Elle n’avait encore jamais vécu cela, et elle s’en souviendrait.

La page du défi

Les autres défis

Le destin, ce puzzle

Publicité

Défi 30 jours d’écriture Kea Ring n°29 (2e édition) Fantastique en 15 mots

(provenant du blog de Madame Kea Ring)

29) Ecrire du fantastique en 15 mots

Un affreux monstre. Réveil en sursaut. Deux yeux brillants le fixant toujours dans le noir…

Autres essais :

  • Une main sortit de l’écran. La fissure seule lui prouva qu’il n’avait pas tout halluciné.
  • Elle sentit soudain les doigts du mannequin en plastique se refermer sur sa main.

La page du défi

Les autres défis

Le destin, ce puzzle

Défi 30 jours d’écriture Kea Ring n°28 (2e édition) Ecrire une histoire drôle

(provenant du blog de Madame Kea Ring)

28) Ecrire un sketch ou une histoire drôle

La bataille finale

C’était un matin ensoleillé. Pas un matin où l’on aurait pu croire qu’il allait se passer quelque chose de très sérieux. Ce matin-là, j’allais partir en guerre. J’avais mis mes lunettes de protection, ma combinaison, et j’avais regardé des vidéos de relaxation pour me calmer. J’avais pris mes armes, je m’étais préparée mentalement, et j’y étais allée. Bravement. Quand il fallait y aller… Je m’arrêtai devant le champ de bataille. Il y avait du boulot. Je n’avais pas rangé mon placard depuis beaucoup trop longtemps, il allait falloir s’y mettre.

Je fixai le placard du regard. Le combat de regard ne dura que quelques secondes, car j’étais la seule des deux à avoir des yeux, et en plus j’avais quelque chose d’autre à faire après, donc il fallait vraiment que je commence. Et puis, même si mon désir de faire disparaître ce placard avait été très grand, cela n’avait pas suffi à ce que mon souhait se réalise. Il fallait être à plusieurs, pour que cela fonctionne. Quand j’étais au lycée, avec quelques amis, nous avions réussi à jeter un sort à un prof. A ne pas refaire chez soi, bien sûr. C’est une très mauvaise habitude à prendre. Nous avions souhaité ne pas l’avoir en cours, pour une fois, et il avait attrapé une rage de dents. Si on n’appelle pas ça du talent…

Je m’avançai donc vers le placard, tendant une main tremblante vers la porte. Je la tirai, et aussitôt, je fus attaquée. A couvert ! J’avais apparemment cette terrible habitude qui est celle de lancer des choses dans le placard en espérant que tout va rentrer. Cette méthode nécessite au bout d’un moment, beaucoup de force et de détermination, car bien sûr, la pesanteur fait toujours son oeuvre, quand on ouvre le placard la fois d’après. Je me reçus donc sur la tête tous les objets que j’avais réussi à mettre dedans et qui avaient visiblement été en équilibre contre la porte pendant tout ce temps. C’était un peu comme s’ils se vengeaient sur moi pour leur enfermement dans cet affreux placard.

J’essayai d’en retenir quelques uns, mais dans un placard rangé avec la méthode du fourre-tout, quand le séisme a commencé, rien ne peut l’arrêter. Rien. L’humanité n’est rien face à une avalanche d’objet qui se révoltent, sortant du placard comme un seul homme. Ils me tombèrent donc tous dessus, sans que je puisse me défendre. Je finis par terre, le souffle coupé. Quelle idée d’aller mettre une trottinette, certes en plastique, mais tout de même bien lourde, au milieu des vêtements ! Et cet aspirateur, qui essayait de s’échapper par le bas du placard et qui me tomba ensuite sur le pied…Et aussi cette pile de journaux, qui avaient été maintenus en place par l’aspirateur, et qui prirent soudain vie, plongeant les uns après les autres hors de leur prison…

Je vis aussi sortir mon chat, et j’eus un temps d’arrêt. Que faisait-il là ? Il avait dû rentrer pendant que je me faisais agresser par les vêtements. Lorsque les magasines eurent fini de tomber, formant une flaque colorée sur le sol, ce fut le tour des ballons. Ce n’est jamais une bonne idée de mettre des ballons en haut d’un placard, et je le savais. Un des ballons rebondit sur ma tête en faisant un bruit retentissant. Je m’effondrai sur les magasines et les vêtements, regrettant beaucoup de ne pas avoir enlevé la trottinette avant car je m’assis dessus. Une chose était sûre, s’assoir sur une trottinette n’était pas un bon exemple d’utilisation. Cette « petite » séance de nettoyage m’avait déjà beaucoup appris. Ma chute avait soulevé une épaisse poussière qui se trouvait sur les vêtements. On se serait cru dans un clip vidéo. Je me mis à tousser. Non, dans les clips vidéo, cela avait l’air plus glamour que ça.

Ma soeur passa soudain la tête dans la pièce. Elle ne pouvait pas me voir, elle ne voyait que le haut du placard qui était presque vide, à présent. Elle me dit :

  • Eh bien, quelle efficacité ! Je venais voir comment tu te débrouillais, mais je vois que tu es un as en rangement de placards ! Mais où as-tu mis ce qu’il y avait dedans ?

La page du défi

Les autres défis

Le destin, ce puzzle

Défi 30 jours d’écriture Kea Ring n°27 (2e édition) Ecrire dans un lieu inhabituel

(provenant du blog de Madame Kea Ring)

27) Ecrire à l’extérieur de chez soi ou du lieu habituel dans lequel j’écris

(Je me suis installée au grenier, et il y fait assez froid, donc je ne vais pas m’y attarder.)

Elle était dans cette atmosphère étrange propre aux lieux où personne ne vient jamais. L’unique lumière du lieu ne contribuait pas vraiment à rendre la pièce plus accueillante. Les objets, dans le noir, semblaient se transformer en toute sorte de créatures toutes plus affreuses les unes que les autres. Son imagination créative n’avait aucune limite. De jour, c’était une bonne chose, de nuit, les choses prenaient un tournant beaucoup plus inquiétant. Elle ne savait donc pas trop si c’était une qualité ou un défaut. Un peu des deux, selon les circonstances.

Son imagination lui faisait donc dire que les ombres des objets n’étaient pas innocentes du tout, allant se promener sur les murs quand cela leur plaisait. Le silence ambiant était aussi un excellent facteur pour que son imagination s’active. Elle se retourna à plusieurs reprises, s’imaginant avoir entendu un bruit ou un autres, chaque fois pour constater qu’elle était vraiment seule en ces lieux peu rassurants. Elle aurait bien aimé avoir quelqu’un avec elle. Si la personne avec elle était un être humain et ami, c’était bon. Mais si ne pas être seule signifiait être avec des êtres effrayants qu’elle n’avait pas du tout envie de voir, alors elle préférait rester seule. La solitude n’avait encore jamais tué personne, pas vrai ? Par contre, en étant mal accompagné, comme par exemple en étant avec un monstre ou un fantôme, on risquait beaucoup plus de choses.

En plus, dans cet endroit, il y avait peut-être des araignées ? Elle préférait ne pas le savoir. Mais juste au cas où, elle regarda une bonne demi-douzaine de fois autour d’elle. On n’était jamais trop prudent. Elle crut même sentir à plusieurs reprises un insecte se balader sur sa main. Mais il n’y avait rien.

Elle ressortit de cet endroit au bout de longues minutes qui lui parurent interminables. Elle avait réussi ! Elle avait fait le challenge d’Halloween qui consistait à rester pendant un temps donné dans un endroit effrayant ! Elle repartit chez elle, toute contente.

La page du défi

Les autres défis

Le destin, ce puzzle

Défi 30 jours d’écriture Kea Ring n°26 (2e édition) 50 mots maximum avec toutes les lettres de l’alphabet

(provenant du blog de Madame Kea Ring)

26) Ecrire une histoire de 50 mots maximum où figurent toutes les lettres de l’alphabet

(je ne suis pas sûre que le résultat ait un sens, mais je crois qu’il y a toutes les lettres et moins de 50 mots 🙂 )

Elle voulait jouer au yoyo ce matin. La veille, c’était le zoo. Cette fois, quelqu’un devait venir avec elle, ou elle se perdrait. Avant, la grange l’avait intéressée. Karaoké, hula hoop et xylophone avaient suivi. Heureusement, le weekend arrivait bientôt. 

La page du défi

Les autres défis

Le destin, ce puzzle

Défi 30 jours d’écriture Kea Ring n°25 (2e édition) Thème : Tour du monde

(provenant du blog de Madame Kea Ring)

24) Dimanche, un thème : le tour du monde

C’était le jour du voyage. Ils avaient décidé de prendre le Transsibérien. Ils n’avaient encore jamais rien fait de tel. Ils voulaient visiter des pays où ils ne seraient jamais allés en principe, faire des choses qu’ils n’auraient jamais eu l’occasion de faire lors de leurs vacances habituelles. Ils voulaient sortir des sentiers battus (des leurs, en tout cas) et faire un tour du monde en train. Ils avaient décidé cela depuis longtemps, mais elle se sentait nerveuse à l’idée de partir, finalement. Elle n’avait pas vraiment réalisé ce qu’elle et sa bande d’amis allaient faire. Ils allaient vraiment partir pour un voyage qui allait durer bien plus que la semaine qu’elle prenait pour partir à la mer d’ordinaire. Cela allait être très différent de d’habitude. Mais ça avait été leur argument, justement. Bousculer un peu les habitude, découvrir de nouveaux endroits, des cultures, bouger plus que d’ordinaire.

C’était le jour J, le jour du départ. Et bien sûr, tout ne se passait déjà pas comme sur des roulettes. Ils avaient déjà failli rater le train parce qu’ils n’avaient pas réussi à trouver l’endroit où le trouver parce qu’ils ne parlaient pas russe, et l’un d’entre eux avait déjà perdu l’un de ses sacs. Une fois dans le train, ils se rendirent vraiment compte de ce dans quoi ils s’engageaient. Ils allaient être dans ce train pendant une semaine environ. Ils jouèrent souvent aux cartes pour tuer le temps, profitant des arrêts pour faire des photos. Chaque fois que le train s’arrêtait, ils voyaient un paysage différent des précédents et magnifique, du moins c’était son avis. Elle s’amusait beaucoup à bord du train. C’était toute une aventure, et elle n’aurait jamais cru faire ça un jour. Ses amis étaient bien de son avis. C’était une très belle expérience. Ils avaient déjà des amis dans leur wagon, des amis qui parlaient anglais et quelques mots de français. Ils apprirent beaucoup d’eux.

A la fin du voyage, elle se sentit grandie. Elle avait vraiment fait un beau tour du monde, du côté de l’Asie, bien sûr. Cela lui donna envie de voyager plus encore, elle qui n’aurait pas eu envie de sortir de chez elle avant. Cela avait réveillé la voyageuse qui sommeillait en elle. Elle fut très contente de son voyage.

La page du défi

Les autres défis

Le destin, ce puzzle

Défi 30 jours d’écriture Kea Ring n°24 (2e édition) Fantasy en 15 mots

(provenant du blog de Madame Kea Ring)

24) Ecrire de la fantasy en 15 mots

Le dragon se releva soudain, crachant de grosses flammes et détruisant tout autour de lui.

Autres essais :

  • Quand la Reine fut menacée, le soldat révéla ses pouvoirs pour la protéger de l’ennemi.
  • C’était un monde extraordinaire : des licornes volaient aux côtés des parapentes, la magie était partout.

La page du défi

Les autres défis

Le destin, ce puzzle

Défi 30 jours d’écriture Kea Ring n°23 (2e édition) Mots imposés

(provenant du blog de Madame Kea Ring)

23) Ecrire une histoire avec les mots suivants : Bengale, légendaire, annoncer, caricature, vierge, armure

Essai avec un poème (qui n’a pas grand sens) :

En vacances au Bengale il voulait aller

Mais un rhume légendaire il a attrapé

Le médecin ne savait comment l’annoncer

Le voyageur frustré acheta une caricature

De l’endroit pour oublier sa « déconfiture »

Il se saisit d’un cahier vierge

Pour écrire et construire son armure.

Essai avec un texte :

Il regarda par la fenêtre. Il pleuvait. Comme c’était original. Il pleuvait comme tous les autres jours. Il n’allait pas pouvoir aller se promener. Vraiment dommage. Il vit son parapluie du coin de l’oeil, mais son regard se posa finalement sur sa télévision. Oui, pourquoi s’embêter à sortir sous une pluie battante qui aurait sans doute trempé ses bas de pantalon en quelques secondes, alors qu’il pouvait tout simplement rester là à regarder la télévision ?

Il ne pourrait certainement pas partir en vacances au Bengale cette année, il fallait qu’il se contente du mauvais temps qu’il avait dans sa ville. Dommage, mais au moins il allait pouvoir rattraper le retard qu’il avait sur les séries du moment. Une série légendaire qu’il n’avait pas pu regarder racontait la vie de policiers aux Etats Unis. Il avait été choqué quand il avait entendu dire que ladite série n’aurait pas de suite. Pour l’annoncer, le réalisateur avait utilisé les réseaux sociaux.

Il mit une série qui lui plaisait bien et qui allait bien avec la pluie au dehors. Il la regarda pendant environ une heure avant de se rendre compte du problème. Le personnage principal était en train de prendre une feuille vierge pour y consigner les détails de son enquête dans une armoire située à côté d’une armure, quand il l’entendit. Le bruit d’eau.

Il se figea. Puis il se leva d’un bond, courant vers son bureau. Il avait laissé la fenêtre ouverte ! Celle sur le toit ! Tout était trempé dans la pièce. A ce moment-là, son visage devait ressembler à une caricature. Il était trop énervé pour trouver cela amusant. Pourtant, si cela s’était passé dans une série, il aurait bien ri.

La page du défi

Les autres défis

Le destin, ce puzzle

Défi 30 jours d’écriture Kea Ring n°22 (2e édition) Ecrire la suite de la dernière phrase d’un livre

(provenant du blog de Madame Kea Ring)

22) Ecrire la suite de la dernière phrase du dernier livre que vous avez lu (Harry Potter Tome 3)

L’été s’annonçait bien meilleur que celui de l’année dernière ! Elle allait pouvoir aller où elle voulait, grâce à son permis de conduire flambant neuf qu’elle venait d’obtenir après bien trop de tentatives ratées à son goût. Tout ça pour ensuite se retrouver à conduire au milieu de personnes qui avaient peut-être leur permis, mais qui n’arrivaient pas à respecter les règles les plus simples et logiques. Elle se réjouissait donc de ne pas avoir à se faire transporter partout, mais elle redoutait les heures à conduire près de véritables fous du volant. Tous ne l’étaient pas, mais il suffisait d’une seule personne pour créer une situation compliquée. Elle n’avait pas encore vu toutes les situations possibles, elle s’en rendait compte chaque fois qu’elle conduisait. Il lui faudrait des années pour avoir tout vu, et encore.

Cette année, elle allait pouvoir aller où bon lui semblait. Et c’était beau, d’avoir cette liberté. Mais à cause de la pandémie, elle ne savait pas vraiment où aller. Où qu’elle aille, il lui faudrait porter un masque. Et s’inquiéter de la distanciation et des gestes barrière. Cette pensée avait tendance à freiner un peu son entrain. Elle ne sortait plus que par nécessité, en ce moment. Après tout, pourquoi irait-elle s’embêter à se déplacer (chose qui n’était, même avec une voiture pas aussi simple qu’avant) ? Tout compte fait, elle pouvait rester à la maison. Et peut-être que le fait qu’elle puisse se rendre où elle voulait suffirait à la satisfaire…Jusqu’à ce qu’elle se sente plus tranquille en sortant, si ce jour arrivait un jour.

La page du défi

Les autres défis

Le destin, ce puzzle

Défi 30 jours d’écriture Kea Ring n°21 (2e édition) Texte sur un papier

(provenant du blog de Madame Kea Ring)

21) Griffonner un texte sur papier  

Voilà la version papier, je vais recopier en dessous (juste au cas où…)

Confusion

Il avait perdu quelque chose dans sa voiture. Il était certain que quelque chose manquait, et pourtant, il ne se rappelait pas quoi. Et il n’était même pas certain de l’avoir perdu dans sa voiture. Pourtant, il cherchait. Il cherchait depuis déjà deux heures, sans avoir rien trouvé. Difficile de trouver quelque chose quand on ne savait pas ce que l’on cherchait exactement !

Il finit par se rappeler : il avait perdu ses clefs de maison…Il se remit à chercher : rien sous les tapis, ni devant, ni derrière. Rien sur les sièges, ni en dessous. Il regarda aussi dans son sac, car les endroits les plus évidents ne devaient pas être écartés. C’était même sûrement là qu’il allait les trouver… Non. Encore pas là.

Il finit par voir ses clefs : elles l’attendaient bien sagement dans la serrure…

La page du défi

Les autres défis

Le destin, ce puzzle